
Cet été, Abylon part à la rencontre de ses alumni. Ils ont été consultants, managers voire directeurs du cabinet. Ils nous racontent leurs parcours avant, pendant et après Abylon. Aujourd’hui, Pauline Virlouvet, PMO auprès de la direction générale de Veolia Eau France, revient sur son expérience chez Abylon et ce qu’elle lui a apporté dans la suite de son parcours. Interview.
Pourquoi as-tu souhaité rejoindre Abylon ?
Je suis arrivée chez Abylon en janvier 2019. Auparavant, j’étais attachée industrie et transport au service économique régional de l’Ambassade de France à Londres. J’étais donc nouvelle dans le conseil. Je dirais que c’est par la beauté de LinkedIn que je suis tombée sur Abylon. C’était une entreprise qui cochait de nombreuses cases pour moi : des sujets d’industrie et d’environnement, la possibilité de travailler sur des projets très différents, de développer de nouvelles compétences liées à la gestion de projet. Et tout ça dans une entreprise dont la vocation, les métiers de l’environnement, me parlait beaucoup.
Quelles ont été tes missions chez Abylon ?
J’ai principalement travaillé sur une mission longue au service de la direction consommateurs nationale de Veolia Eau France, sur des sujets de marketing et d’expérience consommateurs. Ma mission s’est déroulée dans le contexte du déploiement du CRM Iris, un changement d’outil fondamental au niveau de la filière consommateurs. C’était aussi le moment du virage vers la relation attentionnée. La direction était alors concentrée sur une réflexion autour des parcours client différenciés et de la mise en place d’un dispositif d’écoute client via un questionnaire de satisfaction à chaud. Au bout d’un an, ma mission s’est transformée en poste et je suis devenue chef de projet expérience consommateur chez Veolia Eau France. Pour Abylon, j’ai aussi animé ponctuellement des ateliers d’intelligence collective, en particulier dans le cadre du dispositif “Boost mon offre”.
Comment s’est passée la transition entre Abylon et Veolia Eau France ?
Quand je suis rentrée chez Abylon, j’avais le projet d’intégrer le groupe Veolia à moyen terme. Finalement, les choses sont allées beaucoup plus vite. L’entente personnelle était très forte avec l’équipe dans laquelle j’étais intégrée en tant que consultante. Le poste recouvrait aussi une dimension d’animation avec les régions, que j’ai beaucoup appréciée. Quand l’opportunité s’est présentée de rejoindre Veolia Eau France, je l’ai saisie. D’une manière plus générale, les engagements environnementaux de Veolia et son ancrage local correspondaient à mes convictions. Nos activités sont créatrices d’emplois en local et c’est important pour moi. D’une certaine manière, c’est aussi dans la continuité de mon expérience dans le secteur public car nous sommes au service des collectivités.
Quels aspects de ton travail chez Abylon t’ont particulièrement plu ?
Tout ce qui se développait autour des ateliers d’intelligence collective ! Aujourd’hui, c’est devenu très commun mais, à ce moment-là, Abylon avait déjà développé une vraie compétence avec un savoir-faire fort, ce qui donnait des ateliers très impressionnants. Abylon était aussi précurseur dans le lean : dès 2019, j’ai pu passer ma yellow belt et j’avais trouvé ça très pertinent. C’est un cabinet où l’on a beaucoup d’opportunités de se former, avec une ritualisation des temps d’échange qui permet de rester ouvert à ce qui se passe dans les autres missions et, au-delà, dans le groupe.
Comment ton passage chez Abylon a-t-il contribué à ton développement professionnel ?
Cette expérience a été un accélérateur. J’ai mieux compris le groupe et son écosystème complexe fait de nombreuses parties prenantes. Le fait d’être en contact avec des consultants qui sont eux-mêmes en mission sur des postes variés, dans des directions multiples, c’est quelque chose qui aide à comprendre rapidement le groupe et ses enjeux.
Quel lien gardes-tu avec Abylon aujourd’hui ?
J’exerce comme PMO auprès du Directeur général de Veolia Eau France, après avoir passé trois ans en territoire comme responsable consommateurs en Seine-et-Marne. Dans mon poste actuel, je travaille sur un certain nombre de projets stratégiques qui intègrent des abyloniens. Je fais aussi partie des “Abylumni”, les alumni d’Abylon. C’est très sympa parce que, au fil du temps, on a beaucoup essaimé. Une des grandes forces d’Abylon, c’est de continuer à fédérer une communauté un peu partout au sein du groupe et à tous les échelons.
Qu’est-ce que tu apprécies chez les consultants d’Abylon ?
Comme Abylon est un cabinet de conseil interne, il n’y a aucun doute sur le respect de la confidentialité des dossiers. C’est aussi le gage d’une rapidité de compréhension des thématiques parce que les consultants baignent dans l’écosystème Veolia. Le temps d’adaptation et de prise en main des missions est très rapide, ils sont très vite acteurs de leur mission.
Quel est ton meilleur souvenir d’Abylon ?
Je penserais à un week-end de séminaire à Dubrovnik. C’était un temps très resserré mais qui nous a permis de créer des liens forts. Pour moi qui étais en mission longue à Aubervilliers, c’était très important de passer du temps avec tout le monde. Une deuxième chose que j’aimais beaucoup, c’était les visites guidées de musées qui étaient organisées le plus souvent par Candice Dosset. Tout cela participait de cette constante préoccupation pour le bien-être des collaborateurs et de cette volonté de garder une communauté. Personnellement, j’ai passé seulement un an chez Abylon, il y a cinq ans, mais je garde un lien fort et beaucoup d’estime pour cette entreprise.